Ce n’est jamais de gaieté de coeur que l’on sectionne un ver de terre, mais la bêche a cette fâcheuse manie d’aller se planter exactement là où se baladent les lombrics…
J’avais, jusqu’ici, la maigre consolation de penser que ce geste maladroit n’ôtait pas la vie à ces occupants si précieux en terre argileuse. Raté! La lecture de « Lombricompost. Toutes les méthodes geste par geste » (*) remet les points sur les i:
« Mettons fin de suite à une légende: un ver coupé en deux n’est pas égal à deux mais bel et bien à un ver mort. En revanche, le ver peut régénérer la partie postérieure de son corps qui a été sectionnée. En effet, la grande capacité de régénération du ver est un mécanisme de défense pour la survie. »
C’est décidé, je privilégierai dorénavant binette et pelle transplantoir pour les travaux légers!
(*) paru chez Rustica, nous reviendrons sur ce guide pratique.
Il faudrait inventer un petit système d’alerte qu’on poserait là où on va creuser et qui permettrait aux copains Lombric d’aller plus loin !
eu… oui oui je sais j’ai un peu trop d’imagination parfois :p
Bonne soirée
Lydie
ah ben tu vois, je pensais la même chose ! Mince alors !!! Merci pour l’info Fanfan ! ;D