C’est donc le grand (et triste) retour de vacances. Des semaines de pluie, un soleil capricieux et pouf, il flotte dans l’air comme un vent d’automne. Où sont partis les jaunes et oranges châtoyants? Pourquoi la roseraie boude-t-elle sa floraison de septembre? Et vous, cosmos blancs, fidèles compagnons de ces cinq derniers mois, avez-vous vraiment dit votre dernier mot?
Côté herbes indésirables, le chat parti, les liserons dansent! Leur folle ronde s’est attaquée aux rosiers grimpants cette année. Privés de la dose de désherbant de mammy Poupousse, de nouvelles pousses de bambou se sont invitées dans le parterre voisin. Sans compter la démographie croissante au pays des mauvaises herbes. Et ce n’est pas mon Treuleuleu de nain de jardin qui se retrousserait les manches. Pensez-vous qu’il aurait bougé le petit doigt pendant notre absence?
Haut les coeurs, les gauras n’en finissent pas de pointer vers le ciel et mes marguerites ont finalement survécu aux travaux (méthode d’Isabelle approuvée!).
J’ai repris le chemin de la jardinerie: cap sur les floraisons d’automne. Dans l’escarcelle magique, de la sauge blanche (à associer aux parterres de lavande, sauge rouge et verveine de Buenos Aires), des linéaires mauves (ravissant avec les roses jaunes) et des rudbékias. Mais l’éternelle insatisfaite qu’est Fanfan cherche toujours ces hautes et superbes marguerites jaunes repérées chez le voisin…
A bien vite pour quelques photos des vacances. Ah, les façades fleuries de Saint-Véran (parc naturel du Queyras)…
Ah beh voilà le grand retour 😉
suis vraiment contente de votre retour..
j’avais presque cru que vous aviez disparu dans la nature..
ouf, glad you’re back