Elle côtoie essentiellement les gauras et verveines de Buenos Aires, en cette saison. Eglantyne a eu la bonne idée de narguer la grisaille. Et offre cette remontée qui lui avait fait défaut, l’an passé.
Un certain rosiériste me taquinerait: « Patience, Françoise ». C’est tellement vrai en jardinage. Ainsi Falstaff, son voisin, semble bien décidé à se faire désirer, lui. Feuillage vert luisant histoire de me rassurer, mais zéro bouton.
Chez vous aussi, les roses ont leurs petites humeurs féminines?!
C’est toujours un plaisir de te lire.. même si je n’ai qu’un minuscule jardinet…
Ah la nature est parfois capricieuse ^^
psst :J’aurais voulu savoir s’il fallait couper les passiflores afin qu’elles deviennent plus « touffues » au pied ? merci merci
Heureuse de te retrouver…
Contente aussi de te relire…
j’ai pu admirer ton fiston lors de ta visite chez Isa (sur son blog!)…
Humeur féminine pour mon Jacques Cartier grimpant ( de chez Schmitz) qui n’a fait que me bouder!!!!
Gros bisous…
HELLO Françoise, les rosiers anglais mettent du temps avant de montrer leur vraie splendeur.Je dirais au moins 4ans. Eglantyne qui a chez moi 7-8 ans est un magnifique arbuste qui fait des fleurs par dizaines. Falstaff installé depuis 2-3 ans m’a fait une remontée de dix fleurs. Déjà pas mal. Bon week-end!
la nature est bizarre! mais c’est sont charme!
a+@
mp