Parfois, il est bon d’être navetteuse. Ainsi, cette perle découverte ce matin dans le journal « Métro ». Hengameh est Iranienne. Elle vient de faire condamner son mari à lui verser 124 000 roses rouges. Le mobile? Son avarice. « Nous nous sommes mariés il y a dix ans, mais très vite je me suis rendu compte que Shahin était avare. Lorsqu’on va au restaurant, il refuse même de payer mon café. » Pas de chance pour lui, la loi iranienne prévoit qu’une femme peut réclamer sa dot durant le mariage, avec obligation pour le mari de la lui verser. En l’attente des bouquets, l’appartement du mari a même été saisi. En espérant pour lui qu’il n’était pas décoré de papier peint… fleuri!
Plus près de chez nous. « Les plantes sont stressées » affirme Koes Es, du Jardin botanique de Meise. « La nature est en pleine tourmente. » En cause, le réchauffement climatique. Et de citer l’exemple du chêne rouvre qui fleurit en moyenne dix jours plus tôt qu’il y a trente ans. Si le papillon d’hiver – dont les larves s’alimentent des feuilles de ce chêne – a réussi à s’adapter, anticipant la ponte de ses oeufs, il n’en va pas de même pour la mésange charbonnière. Laquelle arrive trop tard pour se nourrir des larves. Et si la neige s’en mêle en plein mois de mars…
votre blog est intéressant à regarder,il y a beaucoup de photos,dont je ne me lasse pas.
Félicitations.
continuez.
Merci
Je vois que le Métro est devenu le quotidien le plus lu des navetteurs … j’avais aussi lu ces articles et je m’étais dit que même si les plantes commençaient à stresser … où allions-nous?