On a marché sur la lune… Le nom ne vous parle peut-être pas. Un indice: le col de l’Izoard. Là, les cycliste dans l’âme se réveillent. L’endroit est un des passages obligés du Tour de France, évidemment. Eh bien, cette fameuse Casse Déserte en est le prolongement direct. Quelques virages (en épingle à cheveux) plus loin, deux plaques scellées sur un rocher rappellent d’ailleurs Louison Bobet et Fausto Coppi à notre bon souvenir. Cinquante ans plus tard, il faut voir ces courageux cyclistes (que dis-je, ces héros) arriver au sommet (2361 m). Certes parfois dans un état avancé, mais ils l’ont fait! Là où même la voiture a peiné…
Pour la petite histoire, le dicton veut que le cycliste qui est en maillot jaune le jour de l’arrivée de l’étape passant au sommet du col de l’Izoard gagne le Tour de France.
Entre monolithes sortis de terre et gigantesques éboulis (résultat de l’érosion de la Cargneule, un mélange de roches sédimentaires), les lieux sont de toute beauté. Et marquent la transition entre le Briançonnais et le Queyras où nous séjournions. L’occasion d’une superbe balade vers le Lac de Souliers, mais nous y reviendrons.
w-o-aw…
ça m’avait l’air quand même vachement bien, ces vacances
Quel décor….
Plus qu’à faire un poster et mettre sur le mur!
Bonjour Fanfan et merci pour votre très gentil commentaire.Je viens de visiter votre blog et j’aime beaucoup votre style d’écriture. j’y reviendrai. A bientôt.
c’est kan kon y retourne?
ça ressemble au mont ventoux …