Tes fougères dans un plus grand pot tu replanteras
A en coire mon homme, elle avait plus de 10 ans. Presque jalouse j’étais, elle qui l’avait attendu au retour de virées mémorables dont je n’avais pas encore la chance de faire partie. Elle? Une verte fougère digne de la Forêt de Soignes, qui avait pourtant débuté sa modeste vie dans le rayon d’une grande surface. Avant d’atterrir dans l’intérieur fonctionnel d’un kot montois.
Après une escale en terres strombeekoises, ladite fougère nous suivait, fin décembre 2005, dans les caisses du déménagement. Ou, plus exactement, nous précédait lors d’un convoi exceptionnel « plantes vertes » ayant transformé notre voiture en un insolite jardinet. Damned, la poussière du chantier chauffage central allait lui jeter un sort. Ou était-ce mon vil inconscient qui ne voulut pas la rempoter à temps, la privant du minimum vital de terre qu’elle était en droit d’exiger? Une jeune pousse a désormais pris sa place, migrant vers la chambre, mais je le sens, le coeur de mon homme n’y est plus…
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mais pas du tout… il lui parle souvent pour lui faire part de toute son éternelle reconnaissance 😉
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