Pas très écologique, je l’avoue. Mais notre petit coin de campagne a pris des airs de Bouge et ses grands feux, samedi. On ne parle définitivement plus du sapin abattu il y a quelques semaines. Impossible d’aller porter ses branchages à la décharge, nous ne possédons pas de remorque. Ils étaient donc entassés dans un coin du jardin, formant un monticule de près de 2 mètres. Pas question de le brûler par la sécheresse du mois d’avril, trop dangereux. Début mai a vu le retour de la pluie, mais c’était sans compter sur l’orientation du vent. Pyromanes peut-être, mais respectueux des voisins quand même, nous tentons d’être.