‘Crême de la crême’, sous le soleil

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Vite, un rayon. Sortir l’appareil photo. Et immortaliser l’épanouissement du petit dernier. Dommage de ne pas pouvoir partager son délicat parfum.

Mammy Poupousse est revenue de la mer un petit livre sous le bras, déniché chez un bouquiniste de seconde main: « Les Rosiers », de Michèle Lamontagne, paru aux éditions Solar (1976). Nous n’allons pas vous le recommander vu son grand âge (je pense au bouquin, n’est-ce pas, mauvaises langues!), mais l’on y apprend notamment que dans le langage des roses, le blanc évoque le silence. Et que dans certains pays, une rose blanche était anciennement suspendue au-dessus de la table ou de la porte pour inviter à la discrétion et inciter à ne pas répéter ailleurs ce qui s’était dit en ces lieux…

5 réponses sur “‘Crême de la crême’, sous le soleil”

  1. J’adore les roses. Elle est superbe. Je viens de planter 2 rosiers Meilland : Traviata (rose d’un rouge framboise) et Frédéric Mistral (rose très parfumée).

  2. heureux que les roses de mon jardin vous ont plu, je constate que vous etes une passionnée , merci de votre visite sur mon blog et j’espère vous revoir bientôt

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